C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule
Titre du film : C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule
1975
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1975
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Les temps modernes
Titre du film : Les
Temps modernes
Distribution :
Synopsis : Les Temps modernes (Modern Times) est une comédie dramatique américaine de Charlie Chaplin, sortie en 1936. Il s'agit du dernier film muet de son auteur et
le dernier qui présente le personnage de Charlot, lequel lutte pour survivre dans le monde
industrialisé. Le film est une satire du chômage et
des conditions de vie d'une grande partie de la population occidentale lors de
la Grande dépression. Conditions imposées, selon Chaplin, par les gains
d'efficacité exigés par l'industrialisation des temps modernes. Les
Temps modernes dépeint
la vie d'un ouvrier, employé sur une chaîne de production. Après avoir été
soumis à divers mauvais traitements, gavé par une machine ou contraint à visser
des écrous à un rythme effréné sur une chaîne de montage accélérée, Charlot est
atteint d'une dépression nerveuse. Il est alors envoyé à l'hôpital. Après son
rétablissement, devenu chômeur, Charlot est arrêté, par erreur, pour avoir
fomenté une manifestation communiste, alors qu'il tentait en fait simplement de
restituer un drapeau rouge tombé d'un véhicule de livraison. En prison, il
ingère accidentellement de la cocaïne, la prenant pour du sel. Dans l'état
délirant qui s'ensuit, il est mêlé à une évasion à laquelle il met fin en
mettant KO les
autres condamnés. Il est alors acclamé en héros par les geôliers et libéré.
Pourtant il se sent heureux en prison et voudrait y demeurer. Libéré contre sa
volonté, il découvre combien la vie est rude, et rêve de retrouver sa
confortable geôle après avoir provoqué une catastrophe sur un chantier naval.
Il rencontre alors dans la rue une orpheline va-nu-pied (la « gamine »),
qui fuit la police après avoir volé un pain pour se nourrir. Pour sauver la
jeune femme et retourner en prison, Charlot ment à la police et prétend être le
voleur. Cependant, un témoin révèle la supercherie et Charlot est libéré. Afin
d'être à nouveau arrêté, il ingurgite une énorme quantité de nourriture sans
payer. Il se retrouve avec la gamine dans le « panier à salade »,
dont ils sont éjectés en route. Rêvant d'une vie meilleure, Charlot obtient un
emploi de gardien de nuit dans un grand magasin, introduit la gamine dans
celui-ci et tombe sur des cambrioleurs avec lesquels il sympathise. Se
réveillant le lendemain matin dans un tas de tissus, il est arrêté une fois de
plus.
Distribution :
- Charlie Chaplin : Charlot, un ouvrier
- Paulette Goddard : l'enfant
- Henry Bergman : le patron du restaurant
- Tiny Sandford : Big Bill/un ouvrier
- Chester Conklin : le mécanicien
- Hank Mann : le propriétaire du cabaret
- Stanley Blystone : le père de la gamine
Scénario : Charlie Chaplin
Date de sortie : 5 février 1936
The Great Dictator
Titre du film : The Great Dictator
Synopsis : Ce film, conçu juste avant la Seconde Guerre mondiale, fut
le plus grand succès commercial de Charlie Chaplin et contribua à mobiliser l'opinion
publique nord-américaine en faveur desdémocraties européennes, à une
époque où seule la Grande-Bretagne résistait encore à l'Allemagne
nazie. Il est ouvertement inspiré par le régime nazi mis en place par Hitler.
Le gouvernement allemand a d'ailleurs protesté officiellement contre sa
réalisation et demandé l'abandon de ce projet, que Chaplin a tenu à
terminer malgré ces pressions. Le dictateur incarné par Chaplin est
largement inspiré par celui-ci, et le personnage de Benzino Napoloni
(interprété par Jack Oakie) est inspiré de Benito Mussolini. Bien que
le film ait été réalisé avant le début de la Seconde Guerre mondiale,
celui-ci laisse entendre la possibilité d'une nouvelle guerre en Europe,
en même temps qu'il rappelle la brutalité du régime nazi. Le Dictateur présente
le nazisme comme un danger mortel pour les communautés juives d'Europe,
pour l'humanité entière
et pour la démocratie. Cette première satire a marqué la satire
anti-hitlérienne postérieure
Distribution :
- Charlie Chaplin : Adenoid Hynkel (dictateur de Tomanie / le barbier juif, son nom rappelle celui d’Adolph Hitler)
- Jack Oakie : Benzino Napoléoni (prénom rappelle celui Benito Mussolini)
- Reginald Gardiner : Commandant Schultz
- Henry Daniell : Garbitsch (ce nom rappelle celui de Joseph Goebbels )
- Billy Gilbert : Maréchal Herring (ce nom rappelle celui d’ Hermann Göring )
Réalisation : Charlie Chaplin
Scénario : Charlie Chaplin
Date de sortie : 15 octobre 1940 (USA) / 4 avril 1945 (France), 26 août 1958(Allemagne)
Date de sortie : 15 octobre 1940 (USA) / 4 avril 1945 (France), 26 août 1958(Allemagne)
Les Barbouzes
Titre du film: Les Barbouzes
Synopsis :
Distribution :
Lino Ventura : Francis Lagneau, le cousin dit Chérubin, Requiem, Bazooka et Belle chataigne
Bernard Blier : Eusébio Cafarelli, le curé
Charles Millot : Hans Muller, le psychanalyste
Mireille Darc : Amaranthe, veuve de Benarshah
André Weber : Rossini, "fidèle rudolph"
Jess Hahn : Commodore O'Brian
Francis Blanche : Boris Vassilieff, le faux frére
Robert Dalban : Le conducteur de camion
Réalisation : Georges Lautner
Dialogues : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie : 10 décembre 1964
Synopsis :
Constantin Benarshah, célèbre et richissime marchand d'arme décède un beau matin, laissant derrière lui une veuve, Amaranthe, une fortune colossale et des formules secrètes d'armes atomiques. Un quator de barbouzes va alors arriver au chevet de la veuve avec pour objectif de récupérer les fameux codes secrets. Chacun cherchant à s'attirer les bons sentiments de la veuve tout en imaginant de multiples attaques pour éliminer les autres prétendants. Ce qui donne un meli-melo comique dans la même ligné que les tontons flingueurs. Le faux cousin Francis Lagneau, Le faux psychanalyste Hans Muller, le soviétique Boris Vassilieff et le faux confesseur Eusebio Cafarelli, tous sont des agents secrets envoyés par leurs gouvernement respectif qui n'auront de cesse de se prendre les pieds dans les autres alors que la veuve n'y voit que du feu. Une comédie de Georges Lautner indémodable.
Distribution :
Lino Ventura : Francis Lagneau, le cousin dit Chérubin, Requiem, Bazooka et Belle chataigne
Bernard Blier : Eusébio Cafarelli, le curé
Charles Millot : Hans Muller, le psychanalyste
Mireille Darc : Amaranthe, veuve de Benarshah
André Weber : Rossini, "fidèle rudolph"
Jess Hahn : Commodore O'Brian
Francis Blanche : Boris Vassilieff, le faux frére
Robert Dalban : Le conducteur de camion
Réalisation : Georges Lautner
Dialogues : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie : 10 décembre 1964
L'âge ingrat
Titre du film : L'âge ingrat
Episode n° 2 : http://www.youtube.com/watch?v=w7c3-SW1P-M&feature=relmfu
Episode n° 3 : http://www.youtube.com/watch?v=6d95MgpglTU&feature=youtu.be
Episode n° 4 : http://www.youtube.com/watch?v=7HgVXWbKzC8&feature=youtu.be
Episode n° 5 : http://www.youtube.com/watch?v=Dc-hyLRbYmQ&feature=youtu.be
Episode n° 6 : http://www.youtube.com/watch?v=RvYXVvt_HqU&feature=youtu.be
Les Grandes Gueules
Titre du film : Les Grandes gueules
Synopsis :
Hector Valentin (Bourvil) apprend par son notaire qu'il vient d'hériter d'une scierie dans les Vosges. Une fois sur place, il réalise avec dépit que c'est une ruine mais décide néanmoins de faire revivre l'entreprise. Face à la concurrence déloyale et agressive de l'autre scierie du village qui désire racheter la ruine, Valentin décide d'embaucher 8 détenus en liberté conditionnelle lors d'une mise aux enchères où il rencontre Laurent et Mick . Ces deux derniers, incarnés par Lino Ventura et Jean Claude Roland, venus pour se venger d'une ancienne fréquentation... Une belle image de la loyauté envers un homme ou une promesse, reste à savoir laquelle des deux domine l'autre...
Distribution :
- Lino Ventura :Laurent
- Bourvil : Hector Valentin
- Jean Claude Rolland : Mick
- Jess Hahn : Nénésse
- Marie Dubois :Jackie
- Michel Constantin :Skida
- Nick Stephanini : Therraz, le concurrent
Réalisation : Robert Enrico
Scénario : José Giovanni
Dialogues : José Giovanni
Date de sortie : 22 octobre 1965
Scénario : José Giovanni
Dialogues : José Giovanni
Date de sortie : 22 octobre 1965
Le Gentleman d'Epsom
Titre du film : Le Gentleman d'Epsom
Synopsis :
Distribution :
Réalisation : Gilles Grangier
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie : 3 octobre 1962
Synopsis :
Richard Briand-Charmery dit "le Commandant", est un personnage connu des champs de course nationaux. Son métier : Escroquer les parieurs auquels il vend de feux tuyaux. Parieur, ami, boucher, provincial, patron de boite de nuit, mais tout le monde vient manger à son râtelier. Vient alors une rencontre qui change toute la donne : Celle du commandant avec un restaurateur ambitieux et gourmand (incarné par Louis de Funès) qui désire jouer gros, parole de Ripeux. Le premier convainc ainsi le second à miser sur un "crack" alors que c'est un tocard.... Hélas, le tocard l'emporte....
- Jean Gabin : Le Commandant ou Richard Briand-Charmery
- Jean Lefevre : Charly, un garcon de course
- Louis de Funès : Gaspard Ripeux, restaurateur enragé mais cardiaque
- Paul Frankeur : Arthur, croupier
- Franck Villard : Lucien, tenancier de cabaret
- Paul Mercey : Oscar Robineau, provincial
- Joéelle Bernard : Ginette, femme de Lucien
- Alban Dinan : Léon
- Madeleine Robinson : Maud, femme du monde
Réalisation : Gilles Grangier
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie : 3 octobre 1962
Les tontons flingueurs
Titre du film : Les tontons flingueurs
Synopsis :
Distribution :
Réalisation : Georges Lautner
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie du film : 27 novembre 1963
Info : La célèbre scène de la cuisine où tous les acteurs étaient saouls et où on peut reconnaître la touche de Michel Audiard. Cette scène témoignent de la profondeur des liens qui unissent les acteurs composant la fameuse "bande à Gabin" : Gabin -Blier-Ventura-Lefevre-Belmondo-Delon-Dalban et Blanche
Synopsis :
Un beau matin, Fernand Naudin, ex-truand reconverti en agent commercial a Montauban reçoit un télégramme de son ami d'enfance Louis, ( celui qu'on nomme "le mexicain" ) qui l’appelle depuis son lit de mort à lui rendre une dernière visite, à son chevet. Le Mexicain fait promettre à Fernand de s'occuper de l’éducation de sa fille unique, Patricia, et de ses "affaires" après sa mort. La succession officialisée, Fernand découvre les frères Volfoni, les tripots clandestins, la distillerie, la maison close et les arnaques et se rend compte que les affaires du mexicain étaient loin d’être toutes blanches... Une comédie qui mélange à la perfection la langue verte et le roman noir.
Distribution :
- Lino Ventura : Fernand Naudin dit
- Bernard Blier : Raoul Volfoni
- Jean Lefevre : Paul Volfoni
- Francis Blanche : Maitre Folace, le notaire
- Jacques Dumesnil : Le mexicain
- Sabine Sinjen : Patricia
- Claude Rich : Antoine Delafoy
- Paul Mercey : Henri
- Robert Dalban : Jean, la majordome
Réalisation : Georges Lautner
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Simonin
Date de sortie du film : 27 novembre 1963
Info : La célèbre scène de la cuisine où tous les acteurs étaient saouls et où on peut reconnaître la touche de Michel Audiard. Cette scène témoignent de la profondeur des liens qui unissent les acteurs composant la fameuse "bande à Gabin" : Gabin -Blier-Ventura-Lefevre-Belmondo-Delon-Dalban et Blanche
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Le Tatoué
Titre du film : Le Tatoué
Synopsis :
Félicien Mezeray (alias
Louis de Funès) est un antiquaire français- collectionneur d’Art - de renommée internationale.
Personnage defunèsque : cynique, richissime, calculateur et prêt à tout,
monsieur Mezeray rencontre un ancien légionnaire (incarné par Jean Gabin) :
Louis Marie de Montignac, dit : Legrain. Cet autre personnage à la carcasse
robuste, est aux antipodes du premier : fier comme un légionnaire, retraité
vivant avec simplicité, bon-vivant forcément et grognon par-dessus le marché.
Mais voilà, il possède, tatoué sur son dos, un authentique Modigliani qui va
attiser la soif de l’acheteur qu’est Mezeray. Ce dernier s’engage alors de remettre
à neuf « sa campagne » en échange du Mogigliani. S’en suivent toute
une série de situations comiques et burlesques ou un acheteur caractériel va
vouloir acheter la peau d’un ancien légionnaire colérique aux habitudes non
négociables.
Distribution :
- Jean Gabin : le comte Enguerand, Louis, Marie de Montignac alias Legrain (légionnaire)
- Louis de Funès : Félicien Mézeray
- Paul Mercey : Maurice Pello
- Jo Warfield : Larsen
- Donald von Kurtz : Smith
- Dominique Davray : Suzanne Mézeray
- Pierre Tornade : brigadier
Réalisation : Denys de La Patelliére
Dialogue : Pascal Jardin
Scénario : D’après l’œuvre d’Alphonse Boudard ,
même si certains en contestent l’origine et lui préfèrent la nouvelle de Roald Dahl intitulée « Peau »
qui raconte l’histoire quasi identique parue en 1954 dans la revue « Bizarre Bizarre.»
Date de sortie : 18 septembre 1968
Décors : Robert Clavel
Pour info, le film fut tourné au château de Palluel ,
une bâtisse magnifique datant du XVIII éme siécle qui tombe en ruine.
Vous pouvez voir d’autres photos ici etrejoindre le club de soutien à la rénovation du château en cliquant ICI.ICI.ICI
Archimède le clochard
Titre du film : Archimède le clochard
Synopsis :
Distribution :
Réalisation : Gilles Grangier
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Valentin d''aprés une idée originale de Jean Montcorgé
Date de sortie : 8 avril 1959
Synopsis :
C'est l'histoire d'un clochard atypique, Archimède, glorieux luron et fin soûlard à la bonhomie remarquable qui mène une vie de pacha entre l'immeuble en démolition qui l’abrite et le bar qu'il habite. Connu pour ses excès alcoolisés et ses coups de sang ravageurs, il décide de se faire enfermer en prison pour ne pas passer l'hiver sous un pont. Le pittoresque est poussé au maximum grâce à un Jean Gabin plus que crédible qui nous offre un autre regard sur le clochard à la mine triste d'aujourd'hui...
Distribution :
- Jean Gabin : Joseph, Hugues Guillaume Boutier-Blainville dit : Archimède
- Darry Cowl : Arsène, un clochard
- Julien Carette : Felix, le clochard aux chiens
- Bernard Blier : Monsieur Pichon, nouveau patron du café
- Dora Doll: Madame Lucette Pichon
- Paul Frankeur : Monsieur Grégoire, ancien patron du café
Réalisation : Gilles Grangier
Dialogue : Michel Audiard
Scénario : Albert Valentin d''aprés une idée originale de Jean Montcorgé
Date de sortie : 8 avril 1959
Monsieur
Titre du film : Monsieur
Synopsis :
C'est l'histoire
d'un riche banquier français connu et reconnu qui décide suite à la
mort de sa femme, de trouver la sienne du haut d'un pont parisien. Il
est retenu in-extremis par son ancienne femme de chambre devenue prostituée,
Suzanne, qui lui annonce qu'il était cocu... Le banquier va alors se
faire passer pour mort, changer d'identité et se reconvertir en
charmant maître d’hôtel dans une bonne famille: la
famille Bernadac. Riche, heureux, insouciant et bien portant, monsieur Bernadac
est loin de se douter qu'il est lui aussi cocu... Une comédie ou l'infidélité
prend une place particulière et centrale.
Distribution :
- Jean Gabin: Le banquier
René Duchêne, alias "Monsieur"
- Philippe Noiret : Edmond
Bernadac
- Liselotte Pulver : Elisabeth
Bernadac
- Mireille Darc : Suzanne, ex
femme de chambre de "Monsieur"
- Gaby Morlay: Madame
Bernadac mère
- Peter Vogel : Michel
Corbeil, amant d'Elisabeth
- Jean Lefebvre : Le détective privé
- Paul Faivre : Le curé
Réalisation : Jean-Paul Le
Chanois
Dialogue : Pascal Jardin
Scénario : Claude Gevel
Date de sortie : 22 Avril 1964
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